« Elle a la fraîcheur des rivières, elle a l'ivresse de la vodka, la folie de la tequila. »| hot. | { Kylian Breaker.

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Le réveil fut dur, j'avais perdu l'habitude de me lever aussi tôt.
J'étais encore un peut paumé seul, je ne savais plus où mettre les pieds tellement ma chambre était en bronksse. J'attrapa dans mon armoire un nouveau boxer, puis un bagguy noir avec des chaînes et des menottes, ainsi qu'une chemise noir avec une tête de mort blanche brodée dessus, et je fila à la douche.
Je mis ma chanson de "Sweet Dreams" à fond pendant que je me préparais, sortant de ma douche, je me sècha, puis je me regarda dans la classe, bon sang, il y avait du boulot, alors j'attacha ma serviette autour de ma taille, assé basse pour que l'on puisse découvrir les traits élégants de mes hanches, on voyait bien également mon gros tatouage sur le torse ainsi que mes piercings aux tétons et celui du nombril inversé. J'attrapa ma tondeuse, j'en avais marre de ces cheveux, puis je me rasa à blanc sur les côtés, laissant seulement une crète sur le milieu et le dérrière de ma tête, je pris mon gel et fit ainsi tenir ma nouvelle crète devant et dérrière, puis je m'amusa à me déssiné une larme au crayon noir, sous l'oeil. Je finis par m'habillé après m'être parfumé, et je sortit, rangeant vite les cheveux sur le sol. Je mis tout mes bijoux, bracelet à piques, mes menottes, etc...

Quelques temps plus tard, j'étais dans ma salle de classe, m'ennuyant à mourire, je regardais le prof qui me fixait, quesqu'il avait ? Etais-t-il homo ? Je n'sais pas. Alors je me leva et pris mon sac, celui-ci me demanda ce que je faisais, et moi, avec le plus de franchise que je pouvais donner :

- Le cours m'ennui, alors je pars...

Et sur ces mots, je partit.
J'alla vers ma moto, une belle et magnifique kawasaki ninja verte et noire, je l'enfourcha et mit le contact, le moteur était encore froid, sur le parking je tournais doucement, vérifiant si la fumée du pot d'échapement était froide, quand elle fut chaude, je mis les gaz, et partit dans un crissement de pneus. J'avais envi d'aller à la plage, cet endroit calme et désert. Le temps fut court, car je frollais les 200km/h, voir plus.

Arrivé là bas, je m'assis, et attendis que le temps passe. Le couchais de soleil arriva, il fut magnifique, et je le contemplais, une clope à la main, comme d'habitude, mes poumons devaient être aussi noir que moi. Je remarqua une silhouette au loin, alors je me leva, je reconnu dessuite que c'était Lula, ah... cette charmante demoiselle qui m'arriverait presque à la cheville, elle faisait que me surprendre chaques jours.
Quand je fus à sa hauteure, je me mis dérrière et la pris dans mes bras, la plaquant avec fermeté contre mon corps, elle savait que c'était moi, j'agissais toujours comme ça, et j'étais le seul à être comme ça envers elle. Je ne l'aimais pas, ou je n'en savais rien, mais elle me plaisait beaucoup, chose râre ! Je l'embrassa dans le cou et lui murmura ensuite à l'oreille :

- Que fais-tu seule ici, ô ma belle Lula ?

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L'air se rafraîchissait, mais je restais assise sur ma serviette encore tiède, tout en entourant mes bras autour de mes jambes. Les minutes défilaient, sans aucune envie pour moi de partir, de bouger, ou quoi que ce soit d'autre. Pour une fois, j'étais bien dans cette solitude, et pourtant... La solitude, c'était quelque chose que je supportais très mal, j'étais effrayée à l'idée de me retrouver seule. Allez savoir pourquoi ce soir, je me sentais bien, ou du moins, c'est ce que je crois, que je me sens bien. A ces pensées, un mince soupir s'échappa de mes lèvres, avant qu'un frisson ne parcourt mon corps, et mon cou. Je sentis des bras m'entourer, me plaquant avec fermeté contre un corps, avant que des lèvres ne se posent sur la fine peau de mon cou, m'arrachant ainsi un sourire. Ça, il n'y avait que Kylian qui le faisait, et personnellement, j'adorais ça. Je laissa ma tête basculer en arrière pour la poser contre son épaule, tout en l'écoutant. Du bout des doigts, je caressais son cou, remontant jusqu'a ses cheveux, et fut surprise de réaliser qu'il avait rasé ses cheveux sur le côté, pour laisser un crète se dresser sur le haut de sa tête. Son style sort de l'ordinaire, et cela ne me gêne pour rien au monde, peut-être est-ce ce qui m'attire, je n'en sais rien, mais tout ce que je peux dire est que notre relation est ambigüe, très ambigüe. Mais cela aussi, ça ne me gêne pas.

- J'attendais le prince charmant, dans ce cadre si poétique et romantique, dis-je d'un ton mielleux, avant de rire. Le prince charmant, il m'a laissé sur le bord de l'autoroute, et je ne suis pas prête de remonter dans le carrosse d'un autre. J'ai eu le coeur brisé, piétiné, arraché une fois, cela m'a suffit comme leçon, et j'en ai tiré que l'amour n'existait pas.

C'est ça qui est bien avec Kylian, je le connais assez pour savoir que lui aussi, est loin d'être un chevalier servant. Du moins, c'est ce que je pense, peut-être que je me trompe, mais c'est pas grave. J'ai du mal maintenant à croire à l'amour, et avec Kylian, je me pose encore moins la question, car j'oublie cette notion. Nous sommes tous les deux, point final, pas besoin de multiples questions, la relation que nous avons me convient largement. Un mince sourire sur les lèvres, je pivota lentement, afin de croiser mes jambes dénudées autour de lui, mes bras autour de sa nuque.

- Et toi, qu'est-ce qui peut bien t'amener à la plage ?

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Je laissa Lula pivoté, pour qu'ensuite elle puisse passé ses bras autour de ma nuque et ses jambes autour de ma taille. Je la regardais sans un sourire, bien que je l'appréciais beaucoup, mais les sourires étaient râre.
Le prince charmant ? Laissez moi rire voyons ! Vous et moi savons bien qu'il n'éxiste pas ! C'est ce qu'on racontes aux petites filles pour les faire rêvé, voilà tout...

- Moi ? Euh... ben je m'ennuyais en cours, alors euh, j'ai dis au prof que je partais, et je suis resté à la plage tout ce temps jusqu'à ce que je te remarque...

Je posa ma tête au creu du cou de Lula, puis j'inspira avec une ultime douceure le parfum de celle-ci. Et si je me la jouais romantique ? Beurk... non...
Alors je me redressa doucement, puis me mis debout afin de retiré ma chemise, je me retrouva seulement en bagguy et avec un boxer Freegun qui dépassé, il y avait des genres de poupées vaudoux dessus (si si ça éxiste, j'en ai un !)
Le léger refroidissement de temperature se montra sur ma peau, et j'eu un léger frisson, mais c'était agréable. Je savais que je pouvais faire mourire d'envie n'importe qu'elle fille que je croisais, et ce, seulement rien avec mon visage, alors imaginez mon corps ? On voyait les deux tatouage sur mon torse du côté gauche, et un piercing aux tétons, avec un au nombril. Oui, toujours à fond dans les piercing, mais je vous rassure, je ne suis pas allé plus bas !

- Ca te dis une beignade ?

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Doucement, mes mains glissèrent dans son dos, avant que mes bras ne s'enroulent autour de sa taille, pendant qu'il plongea sa tête dans mon cou, mes yeux clos contre son épaule. J'appréciais ce contact, de sentir son souffle chaud contre ma peau. Je l'écoutais me dire pourquoi il était là, sans relever la tête ou même ré-ouvrir les yeux. La réaction qu'avait eut Kylian ne m'étonnait guère, il fallait le dire, il était bien du genre à partir au milieu d'un cours car il était fatigué, ou quoi que ce soit d'autre.

- On ne change pas les bonnes habitudes...

Dis-je doucement en me reculant afin qu'il se lève, laissant mes mains s'enfoncer doucement dans le sable tiède tout en le regardant. Il retira d'abord sa chemise, pour se retrouver torse nu devant moi, même dans la pénombre qui commençait à être bien présente, je distinguais encore avec aisance les courbes de son corps, ses piercings, et ses tatouages.

Me redressant lentement, je m'assis en tailleur avant de m'étirer avec la même lenteur avant de sortir une cigarette de mon sac, laissant ainsi apparaître un petit point incandescent dans la nuit qui prenait place. D'un geste lascif, je rattacha mes cheveux détachés quelques minutes auparavant, les regroupant en un chignon dépravé. Dans l'immédiat, je n'avais pas tellement envie d'aller dans l'eau, la chaleur du souffle de Kylian dans mon cou et la tiédeur du sable me comblaient largement.

- Vraiment tout de suite ?

Un soupir s'échappa de mes lèvres en même temps que la fumée que je recracha avant que je ne me recouche sur ma serviette, fixant ainsi le ciel rempli d'étoiles, où la fumée partait en douces arabesques.

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Je remarquai que Lula n'avait pas l'air très motivée pour bouger, alors je lui fit un mince sourire et lui prit la cigarette pour tirer dessus et la lui rendre par la suite.
Je ne pris pas la peine de répondre à la jeune femme quand elle me demandai si c'était obligé desuite, bien sûr que non. Alors je m'allongeai tranquillement à côté de celle que j'appréciai certainement le plus à l'université.

- Ca fait longtemps que je ne t'avais pas vu...

Dis-je avec une certaine nostalgie. Elle m'avait manqué, mais je n'osais pas me l'avouer.
Me relevant légèrement, je me risquai un délicat baiser sur les lèvres de Lula, je savais qu'elle ne me rejèterait pas, car c'était comme ça depuis des mois et des mois...

- T'a déjà eu des sentiments pour moi ?

Quelle question idiote !
Mais je voulais le savoir, ça m'amuser de lui poser ce genre de questions...

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- Nous n'en avons pas tellement eu l'occasion

Autant rattraper le temps perdu, non ?

- Quel genre de sentiments ?

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Je contemplai la main de Lula qui parcourait mon torse, puis je relevai doucement mon regard et lui fit un mince sourire, ne cessant de regardé le visage de cette demoiselle.
C'est alors qu'après que j'ai demandai si elle avait déjà eu des sentiments pour moi, la jeune femme se mit à califourchon juste au dessus de moi, et m'embrassai avec tendresse, baisé que je rendis, bien évidamment.
Je passais mes mains dans le dos de Lula, continuant parfois à l'embrassé jusqu'à ce qu'elle me réponde par une autre question, question énigmatique, car qu'étais vérritablement les sentiments ? Je ne savais pas.

La demoiselle m'embrassai dans le cou, ce qui me fit fermé les yeux, et finit par me mordiller doucement la peau, geste habituel à présent pour nous deux. Je réfléchissais à comment lui dire le genre de sentiments auquel je pensais.
D'un côté je savais que ça lui faisait mal ce genre de question, je la connaissais tout de même !

- Non... laisse tombé !

Dis-je avec un léger sourire. Je rouvrit les yeux et me dégageai doucement du visage de Lula, je lui pris le menton pour enfin remonté sa tête et l'embrassai une nouvelle fois sur les lèvres, savourant ce léger goût sucré qui s'offrait à moi.
Je me reffusai de me savoir très attiré par la jeune femme, mais d'un côté je suis un homme, et donc, qui ne serait pas attiré par une charmante demoiselle, surtout par Lula ? Bonne question.

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La phrase qu'il venait de dire avait tout de mauvais : il semblait déçu que je lui ait répondu par une autre question, et il ne s'attendait visiblement pas à ça. Me redressant doucement tout en passant mes bras autour de sa nuque, je scrutais son regard, ses moindres gestes afin de comprendre ce qui n'allait pas. Je ne pouvais nier le fait que Kylian me plaisait, m'attirait, c'était évident. Alors pourquoi je restais bloquée sur un élément du passé ? Un mince soupir s'échappa de mes lèvres quand il me caressa doucement dans le dos, avant qu'il ne m'embrasse, encore une fois. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu, et, je devais l'avouer, il m'avait manqué. C'était un délice de sentir son parfum, tout son être entier près de moi, qui le désirais tant... Et j'avais l'impression au contraire de ne pas savoir en profiter pleinement, que je ne prenais qu'une infime part de lui, mais qui me comblait bien plus que mes attentes. Il avait bien compris que j'essayais d'éviter toute question sur les sentiments de peur d'être blessée, mais je me devais de répondre à sa question. Ou bien non. Non, car je n'avais pas envie de le perdre, de le vexer, ou bien de ne pas avoir la bonne réponse à sa question. Lovée contre son torse, je laissais mes doigts glisser le long de sa taille, alors que mes lèvres dévoraient avidement son torse. Un instant, je releva la tête pour le fixer à nouveau, avant de me redresser entièrement pour enrouler encore une fois mes bras autour de sa nuque, pour enfin l'embrasser avec passion, pour finalement replonger ma tête dans son cou comme pour me cacher, tel un enfant timide ou bien qui a fait une bêtise.

- Tu m'as manqué Kylian, -

murmurais-je doucement sans arrêter de tracer de petits cercles dans sa nuque.

Je sortis de ma "cachette" pour regarder cette fois-ci le jeune homme dans les yeux, déposant un rapide baiser sur ses lèvres.

- Vraiment manqué.

Allais-je regretter ces mots ? Je n'en savais trop rien, mais je devais lui dire, j'en ressentais le besoin

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Quand Lula se redressai, je fut contraint de la suivre dans ses mouvements afin de pouvoir la gardé contre moi. Je l'observai avec attention, souriant par moments car je la trouvais tout simplement magnifique.
Ses gestes avaient beaucoup de douceure, et peut-être une signification ? Ca, je l'ignorais. Me conscentrant plus sur la belle qui était contre moi, je lui caressai le dos, l'embrassai parfois, jusqu'à ce qu'elle se love contre mon torse, et me le dévore de baiser brûlants.
Ce qui était bien avec Lula, c'était qu'il n'y avait pas que le sexe, oui, il y avait la tendresse, les blagues, et elle comme moi n'étions pas fixé que sur le sexe, nous nous considèrions comme des être humains, et non des objets sexuels.

C'est alors que la jeune femme revint se mettre dans mon cou, je la ressairai contre moi, fermant doucement les yeux. Son murmure me donnait des frissons, et je m'appraitai à lui répondre au moment où elle sortit de mon cou pour m'avoué lui avoir vraiment manqué. Souriant je lui caressai le visage avec une infinie douceure et lui fit :

- Toi aussi tu m'a manqué Lula. Tu m'a vraiment manqué !

Puis je l'embrassai une nouvelle fois avec cette même passion qui émanait de moi envers Lula...

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Kylian suivait tous mes mouvements, pour me garder le plus près de lui, et j'adorais ça, être contre lui en cette pur instant de bonheur. Ses caresses dans le dos me provoquaient de légers frissons, me poussant ainsi à me cambrer légèrement, et à me coller un peu plus contre son torse. Doucement, je laissais mes doigts parcours son dos, m'amusant à les enfoncer doucement dès qu'il m'embrassait. J'étais bien, je ne désirais rien de plus que sa présence. Un grand sourire s'afficha sur mon visage à l'entente de sa phrase, quand il me dit que je lui avais aussi manqué. Je n'aurais pas du tout pensé qu'il allait me dire ça, et cela me fit plaisir. Mes mains se posèrent autour de son visage, pendant que je m'amusais à mordiller doucement sa lèvre inférieure tout en le regardant dans les yeux. Mais au fond j'avais peur de lui montrer que je tenais à lui, d'une certaine façon. Pour ma part j'avais arrêté de jouer, si seulement on jouait encore.

- Est-ce que tu joues ?

Murmurais-je doucement, comme pour moi.

Je regrettai immédiatement mes mots, de peur de l'avoir brusqué, ou d'avoir dit une erreur. J'étais torturé entre deux choses, perdue. C'est comme si j'étais face à Dylan, qui m'avait tant blessé auparavant. La peur, peur de le perdre, peur de replonger dans une relation, ou quoi que ce soir d'autre. Pour essayer de lui faire oublier ma question si idiote, je mis mes mains sur son torse pour le basculer en arrière, avant de l'embrasser avec passion, la peur au ventre. Encore une fois, j'aurais mieux fait de me taire.

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Je ne quittait pas le regard de Lula de mes yeux quand celle-ci s'amusait à me mordiller la lèvre inférieure. Je lui fis un sourire, l'embrassant encore une fois, passant mes mains dans son dos, puis sur ses hanches et son postérieur afin de les remonté jusqu'au niveau de ses cheveux pratiquement.
Je finis par me détacher d'elle, regardant une nouvelle fois ses traits, que je finissais d'ailleurs par connaître par coeur. Elle me posai une question, question à laquelle je fus troublé, qu'entendais-t-elle par là ? Moi même je ne savais pas, je ne pense pas joué avec elle, car en effet, je ne vois qu'elle, il n'y a que Lula dans ma tête, et cela fait des lustres que je n'ai pas joué avec une autre fille...

Je me sentis partir en arrière, fermant les yeux quand les lèvres de la jeune femme se posèrent sur les miennes, je prolongeai ce baisé exquis, empli de passion. Comprenant qu'elle voulait me faire oublié sa question, je rompis le baiser et lui relevai le visage pour regardé à nouveau ses yeux, je lui fis un large sourire, qui d'ailleurs était rassurant.
Je lui répondis enfin :

- Je ne sais pas si je joue... car il n'y a qu'avec toi que j'ai ce genre de relation, je n'ai d'yeux que pour toi il faut croire... Et ça me convient parfaitement... donc non Lula, je ne joue pas, ou plutôt, je ne joue plus...

Je ne savais pas comment elle allait prendre cette réponse, alors je me redressai, gardant la jeune femme contre moi, je l'observais, regardant la moindre petite éxpréssion du visage, puis, par la suite, j'attrappais mon paquet de cigarette et finis par en sortir deux, une que je tendis à Lula, et l'autre que je m'allumai tranquillement, tirant parfois dessus pour en recraché sensuellement la fumée...

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Je guettais avec une légère anxiété le visage du jeune homme, m'attendant à toute réaction de sa part. Il fallait que je pose une question, bien sûr, alors que le silence et ses baisers dans le cou me comblaient de plaisir. Après l'avoir vu basculer sa tête en arrière, j'avais eu peur que tout se finisse ainsi, sur une simple question, c'est pour ça que je l'avais embrassé ainsi, avec la peur de le voir disparaître dans la pénombre. Quand il me rendit mon baiser, je m'empressai de dénouer mes bras d'autour de sa nuque, pour pouvoir ainsi me coucher à côté de lui, avant qu'il ne m'adresse un large sourire qui me semblait rassurant. Plus calmement, je me remis bien à califourchon sur lui, écoutant avec attention ses paroles. Je ne savais pas comment je devais réagir face à cette réponse. Au fond de moi, je me sentais soulagée certes, mais vers quoi allions-nous ? Ma dernière relation amoureuse a terminé d'une façon dont j'en garde un très mauvais souvenir, et je n'avais pas du tout envie de perdre Kylian. Je sentis son étreinte me resserrer un peu plus contre lui, ce qui me fit oublier toutes mes questions durant quelques secondes, avant qu'il ne me tende une cigarette que je gardais entre mes doigts.

J'ai perdu l'envie de jouer

dis-je en mettant la cigarette dans ma bouche, prenant la sienne pour l'allumer.

Je le regardais recracher la fumée en souriant, ne pouvant m'empêcher de temps en temps de pincer sa lèvre entre les miennes, avec un regard malicieux. Ma main glissa derrière sa nuque, que je caressais doucement, pendant que mes lèvres chatouillaient son lobe avec envie.

- Je crois que je peux enfin te dire le genre de sentiments que j'avais envers toi, maintenant. Au début, c'était un jeu, très plaisant, que je menais avec d'autres garçons, certes. Mais avec toi, ce n'était pas pareil. C'était plus qu'un jeu, c'était un besoin. Juste un besoin de te voir, ou même d'entendre ta voix. Oui, je pensais à toi, souvent. Et quand tu es avec moi, je ne pense plus à rien. Et ça aussi, ça me comble plus que largement, juste savoir que tu es avec moi, pas seulement pour jouer.

Je ne relevais pas la tête, m'amusant même par moments à mordiller son lobe, avant de laisser ma bouche glisser le long de son cou, frôlant avec plaisir cette peau dont j'étais avide maintenant.

- Pourquoi ne pas jouer une dernière fois ?...

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Je contemplais Lula qui me confiait avoir perdu l'envie de joué, sur le coup je n'avais pas trop compris, je pensais qu'elle voulait tout stopper avec moi, et peut-être passé à du sérieux, avec un autre ? Je n'savais pas.
Elle me pinça doucement la lèvre inférieure entre les siennes, et j'eu un sourire à son regard, l'embrassant avec douceure pour le rompre un peut plus tard. Je tirai une nouvelle fois sur ma cigarette, regardant au loin jusqu'à ce que la jeune femme me dise complêtement son ressentit. Que devrais-je comprendre par-là ? Elle a besoin de moi, elle ne veut plus joué...
Baissant doucement ma tête pour réfléchir à ses paroles, me laissant faire quand Lula s'amusait avec mon lobe, je finis enfin par lacher après quelques minutes de silence :

- M'aime-tu ?

Je retirai ma tête, la regardant un long moment. J'avais un regard indéchiffrable, mais je n'étais en rien en colère, ou déçut de ses sentiments. Elle voulait joué une dernière fois ? Je ne comprenais pas du tout là, pensait-elle que pour couché avec moi il fallait un jeu ? Je la fit basculer sur le côté, me mettant au dessus d'elle et tirant encore et encore sur ma cigarette, lui soufflant doucement la fumée dans le visage.

- Pense-tu qu'il faut joué pour coucher avec moi ? Non...

Je lui fit un sourire, puis je l'embrassai passionément, frottant doucement mon torse nu contre celui de la jeune femme. J'aimais cette sensation, le fait d'avoir son corps contre le mien, je sentais que j'avais envi d'elle, à chaques fois que je la voyais d'ailleurs. Descendant mes baisers dans son cou, je continuais à me frotter, mais avec une douceure infinie, passant mes mains dans ses cheveux, puis les faisant glissées petit à petit sur les épaules pour attérire jusqu'aux cuisses de la jeune femme. Oui, j'avais envi d'elle là, maintenant, et tout de suite !
Je relevai doucement ma tête, regardant les yeux de Lula, puis je l'embrassai à nouveau, j'étais très séléctif dans les choix de femme, et elles étaient râre celle où j'étais un gros nounours gentil, et d'ailleurs, Lula Clay en faisait partie. J'étais surement son gros nounours à elle, le plus gentil de tous, que seule elle pouvait dompté. Mais pas au point d'en être soumis non plus, il ne fallait pas abusé tout de même. L'embrassant une nouvelle fois, mais avec une immense passion cette fois-ci, je me serrai contre elle, glissant ma main entre son corps et le mien pour en déffaire la boucle de ma ceinture, et les boutons de mon jeans...

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Contradictoire. Tous ce que je disais était tout à fait contradictoire. Je venais de lui dire que j'aimais être avec lui, comme si c'était un besoin, mais je voulais encore jouer une dernière fois. Pourquoi ? Peut-être parce que j'avais peur d'afficher pleinement les sentiments que je pouvais éprouver, alors je faisais tout à l'envers. Je m'apprêtais à mordiller doucement son cou, par amusement, mais mes lèvres restèrent à quelques millimètres de sa peau à l'entente de sa question, qui me coupa le souffle quelques secondes qui me parurent éternelles. C'était comme si les points de suture dans mon coeur avaient explosé, laissant à nouveau béant le trou dans celui-ci. Une de mes mains glissa le long de son cou, pour descendre jusqu'à son bras que je caressais du bout des doigts. Je releva doucement la tête, essayant de déchiffrer une quelconque expression sur son visage, sans réel succès. Je fis une moue boudeuse, et tira à mon tour sur ma cigarette, m'amusant à recracher la fumée sous forme de ronds au-dessus de sa tête, avant qu'il ne me bascule sous lui. Surprise à mon tour, j'haussai un sourcil interrogateur avant qu'il ne m'embrasse avec passion, tout en frottant son torse contre moi. La réaction fut immédiate, ma jambe glissa derrière la sienne pendant que mes mains parcouraient son dos, où mes doigts s'enfonçaient avec plaisir.

- Qu'attends-tu comme réponse ?

Je ne pus m'empêcher de sourire après ma question, nous pouvions aller très loin en répondant à une question par une autre. A mon tour, je laissais la fumée sortir doucement d'entre mes lèvres vers lui, une main toujours dans son dos, qui le caressais doucement. Je jeta le mégot à quelques mètres de nous, avant qu'un frisson ne secoue mon corps pendant qu'il laissait ses mains glisser sur celui-ci. Pendant qu'il me faisait frissonner, je laissais mes lèvres suçoter doucement la peau de son cou, pour y laisser une marque rougeâtre, qui allait tourner au violet, avec un sourire sur les lèvres. Relevant la tête, son regard croisa le mien, et nous restons ainsi quelques secondes, avant qu'il ne m'embrasse à nouveau. Entre temps, il me dit que nous ne devions pas jouer si l'o voulait coucher ensemble. Mais au fond, qu'est-ce que ça voulait dire ? Secouant la tête doucement, je chassa mes questions de celle-ci pour me cambrer légèrement sous ses caresses qui me procuraient de doux frissons. Je sentais son envie au bout de ses doigts. Le dessus de sa main frôla mon ventre pendant qu'il la descendait jusqu'à son jean. J'eus le temps d'en profiter pour basculer à mon tour au-dessus de lui, un large sourire sur les lèvres. Je laissa tomber mon tee-shirt par terre, le laissant au-dessus de mon short que je n'avais pas remis tout à l'heure, j'étais maintenant en maillot de bain sur lui, ma bouche parcourant avec délice son torse.

- Je ne pense plus à rien, Kylian.

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Lula était à présent en maillot de bain, et à califourchon sur moi. Elle non plus ne savait plus quoi pensé, c'était assé étrange, mais plaisant. J'attendis un moment d'innatention pour la faire basculer et me retrouvé sur elle, rigolant légèrement, je retirai mon jeans pour ainsi me retrouvé en un simple boxer.
L'éxcitation commençait à monté, et je pouvais que bien le sentir, ma respiration s'accélérai doucement, et je commençais à bouilloner intérieurement. Embrassant Lula langoureusement, je me serrai contre elle, frottant une nouvelle fois mon corps contre le sien. D'un main, je la glissai à nouveau entre la jeune femme et moi, afin d'allé une nouvelle fois découvrire son corps. Je dis bien nouvelle car, en effet, ce n'était pas la première fois qu'on l'on couché ensemble.

Mumurant doucement à son oreille, je lui fis :

- J'ai tellement envi de toi... de ton corps... pour toujours...

Puis je l'embrassai en dessous de son oreille, afin de descendre jusque dans son cou. Peut-être j'allais regretté mes mots, mais c'était dit, et tant mieux, j'aimais pas gardé mes pensées à moi tout seul, je préférais nettement mieux les dires haut et fort.
Je basculai une nouvelle fois, retrouvant à nouveau Lula sur moi, et encore à califourchon, j'en profitai alors pour lui défaire son haut de maillot, laissant apparaître sa poitrine parfaite, celle que j'avais vu à maintes et maintes reprises, et que je connaissais à présent par coeur, et sur le bout des doigts. Retrouvant les petits endroits les plus érogènes, je lui caressai doucement jusqu'à la faire pointé, et la rapprochai de moi pour ensuite pouvoir la couvrire de baisers...

Invité

Mon rire se mêla au sien quand il bascula encore un fois, avant que je ne l'embrasse tendrement en glissant ma main dans ses cheveux, qu'il venait juste de raser. Un soupir de plaisir s'échappa de mes lèvres quand il se serra à nouveau contre moi. Il faisait frais ce soir-là sur la plage, mais nos deux corps étaient en ébullition. Il me désirait, je le désirais. Mes yeux clos, je laissais glisser mes mains sur tout son torse, descendant vers son boxer, jouant du bout des doigts avec l'élastique de celui-ci. Je voulais le faire attendre, encore et encore. Ses lèvres vinrent frôler mon oreille, quand il me dit qu'il me désirait pour toujours, ce qui me fit ouvrir brutalement les yeux. Disait-il ça sincèrement ? Mes bras se nouèrent derrière sa nuque pendant qu'il laissait ses lèvres glisser sur toute ma peau, de l'oreille jusqu'au cou, et à ma poitrine. Je doutais, méditant ses paroles silencieusement dans ma tête, sans rien lui laisser parraître. Ma main caressa doucement ses cheveux, pendant que je refermais les yeux, comblée sous ses baisers. La main qui parcourut mon corps me fit me cambrer légèrement, laissant nos peaux se retrouver doucement, après tant de temps.

- Je tiens vraiment à toi, Kylian...

murmurais-je doucement en laissant ma main glisser dans son cou, retraçant avec douceur le contour du suçon que je lui avais fait -

Je te veux, rien que pour moi.

Je chuchotais cette phrase en frôlant ses lèvres, avant de l'embrasser avec passion. Une passion grandissante, dévorante. J'étais tout à lui, et j'espérais qu'il était mien. Ses mains glissèrent dans mon dos pour défaire mon maillot, qu'il jeta sur le tas que nos affairent formaient. Je soupirais de plaisir quand il me caressait doucement, avant que je ne mordille fermement sa lèvre dans cet instant. Pendant ce temps, mes mains descendaient encore une fois vers son boxer, caressant avec envie le tissu où une bosse se formait, sans relâcher sa lèvre, le regardant dans les yeux. Il représentait beaucoup pour moi maintenant, et je n'avais pas envie qu'il parte de ma vie.

Invité

Je savais pertinament que Lula voulait me faire attendre, et donc, j'attendais, sentant l'envie et le désire monté de plus en plus au fin fond de moi. Après lui avoir dit que j'avais envi d'elle pour toujours, un blanc s'installai entre nous deux, et je l'embrassai durant ce temps, jusqu'à ce qu'elle se sépare de moi pour me confier qu'elle ne voulait rien qu'à elle, et m'embrassai une nouvelle fois avec passion, cette passion qui nous dévorait l'un et l'autre...

- Je suis tiens Lula...

Les minutes défiliaient à grande vitesse, je sentais sa main sur mon tissus, et cela me déclanchai un frisson de bonheur. J'en fermis les yeux sur l'instant, puis les rouvrit. Après avoir vraiment attendu, avoir eu une éxcitation à mon comble, nous entamèrent les préliminaires, changeant un peut de la routine, fusionnant nos corps, et partageant notre plaisirs l'un et l'autre.
J'éprouvais une sensation étrange durant notre ébat, comme si je voulais seulement son bien, et que je passais après, ce n'était pas habituel, surtout venant de ma part, moi l'égocentrique, l'égoiste que je suis... Je voulais l'aimé, qu'elle soit comblée à mes côtés, mais que m'arrivait-il ? Je ne voulais pas être amoureux, j'avais surtout peur... Comment faire si j'étais amoureux ?
Nous firent enfin l'amour, un ébat endiablé, mais à la fois doux, je ne voulais pas de brutalité, je ne voulais pas donné une impréssion animale, mais seulement, humaine. Nos corps fusionnèrent jusqu'à n'en devenir qu'un, et nous montions petit à petit les échelons pour atteindre ce septième ciel tant attendu de l'un et l'autre... Voilà maintenant plus d'une heure que nous faisions l'amour, et tout cela se termina en douceure, en baiser délicat, et en caresses divines.

Embrassant une nouvelle fois Lula, je lui fis un mince sourire, caressant son visage, puis ses épaules, elle était sur moi, et contre mon torse. Quant à moi, je suais, mais j'étais comblé par cet acte qui n'avait pas été le même que d'ordinaire, nous avions arrêté de jouer, et ça se sentait. Qu'étions-nous à présent ? Deux amis ? Un couple ? Je ne cessais de me poser des questions de ce genre, mais en même temps, je ne voulais pas brisé ce merveilleux moment...

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- Je suis tiens Lula...

A l'entente de cette phrase, un large sourire s'afficha sur mes lèvres, avant que ma tête ne plonge dans le creux de son cou, frôlant avec plaisir sa peau du bout des lèvres, tout en laissant s'échapper des soupirs de plaisirs d'entre celles-ci. Je me cambrais sous ses mains et ses doigts qui caressaient tout mon corps, tandis que les miennes glissaient sur son torse et vers son bas-ventre, pendant que je mordillais chaque part de lui qui m'était accessible. Nos deux corps étaient secoués de temps à autres par des frissons, dûs aux gestes que nous partagions. Comblée. J'étais plus que comblée en cet instant, quand nos deux corps s'assemblèrent après un instant à s'échanger de doux instants de plaisir. Il était moi, et j'étais lui. Je me sentais à la fois très bien car j'étais avec lui, que nous étions en train de faire l'amour, nous assurant ainsi de monter rapidement au septième ciel, ce qui se passa après une heure, pour que je finisse dans ses bras, torturée entre le plaisir, et les sentiments que je ressentais. Je ne disais rien, me contentant de fermer les yeux sous les caresses du jeune homme, ainsi que ses baisers.

Doucement, je réouvris les yeux et relevai la tête, laissant mes mains se poser dans son cou que je caressais du bout des doigts, retraçant avec un sourire sur les lèvres les marques qu'il avait dans celui-ci. Une marque de moi. Éphémère. Est-ce que nous étions aussi éphémères ? Je me mordis la lèvre en baissant le regard, et en enlevant mes mains de son cou pour les poser sur ses hanches, laissant ma tête reposer dans son cou. Je voulais lui poser une multitude de questions, car elles me valaient une réponse de sa part, et j'étais dans l'incapacité de les lui poser, car je ne voulais pas rompre cet instant, cette soirée qui s'était annoncée plus que imprévue, il fallait le dire. L'embrassant une dernière fois dans le cou, je sortis ma tête de celui-ci pour l'embrasser avec douceur, en posant ma main contre sa joue.

- Est-ce le bon moment pour te poser une question ?

Murmurais-je doucement en attrapant mon maillot de bain, tout en lui tendant ses vêtements. Je m'assis dos à lui, totalement couchée sur lui, en lui tendant une des deux cigarettes que j'avais sorties de mon paquet. Après l'avoir allumée, je lui tendis mon briquet tout en recrachant la fumée dans les airs, le regard sur le visage de Kylian qui semblait lui aussi perdu dans ses pensées. Je ne voulais plus de lui pour jouer, ce n'est pas que j'étais lassée, bien au contraire, mais je le voulais pour autre chose. Mais j'avais peur de ce que je voulais en mê

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Je souriais rien qu'à l'idée que j'avais Lula contre moi, ça m'enchanté de bonheur. Répondant à son baiser quand elle m'embrassa, je passai ma main dans sa nuque, fermant les yeux et savourant ce moment. C'est alors qu'elle me murmurait à l'oreille si elle pouvait me poser une question, du moins, si c'était le bon moment quoi, j'attrapai mes vêtements que la jeune femme me tendait et les enfilés.

- Bien sûr que tu peux...

Je m'assis doucement, Lula se retrouvant dos à moi, et mes bras autour d'elle, je lui caressai doucement le ventre jusqu'à ce qu'elle me donne une cigarette, que je pris avec plaisirs bien entendu. Allumant celle-ci, j'en recraché la fumée pour rendre le briquet à la jolie brune, et attendit qu'elle me pose sa question.
Durant ce moment, je l'embrassai sur la tête, dans la nuque, et je continuais à caresser son ventre avec une grande délicatesse. J'avais peur de mes sentiments, mais je pouvais presque le dire, oui, je l'aimais. Je chassai cette idée de ma tête, n'ayant plus l'habitude de ce genre de sentiments, j'avais honte d'un côté, car si elle n'épprouvait pas les mêmes sentiments que moi, je me retrouverais un peut comme un con...

HJ : désolé manque d'inspi là