Je suis née lors d'un froid matin de novembre, à Liverpool, le 11 pour être exact, 2 ans après mon grand frère Jason. J'ai d'ailleurs vécut comme une petite enfant normale, accompagnée de mon grand frère à l'école. On était quasi inséparables, on avaient une notion d'entraide et de solidarité fraternelle absolument hors du commun. On se ressemble beaucoup il faut dire. Aujourd'hui, on est passionés par la même chose, la musique. Enfin, pas vraiment le même style de musique, je vous l'accorde. Mon père possédait un bar et ma mère y servait. D’ailleurs ils se sont rencontrés là-bas, lorsque mon père n’était encore que le fils du patron qui bossait a mi-temps histoire de se faire de l’argent pour s’acheter le piano dont il rêvait. Nous habitions au dessus du bar, le soir lorsque mes parents faisaient passer des auditions a des groupes pour jouer le samedi soir dans leur établissement je descendais les escaliers, juste assez pour y voir et en robe de chambre je regardais les gens chanter. Depuis, je suis passionnée par le chant, j’ai rapidement voulu en faire mon métier et de ce fait, l’école ne prenait pas une grande place dans ma vie, ce que mes parents n’approuvaient pas « Ce n’est pas un métier stable, tu risques de tout perdre » ce a quoi je répondais « Qu’est-ce que je pourrais perdre ? Tant que je vous ai vous, tout ira bien. » J’ai toujours aimé mes parents, cela a été dur de les quitter. A 12 ans, lorsque je suis entrée au collège, celui-ci proposait plusieurs langues vivantes, je choisis tout d’abord le français, puis en seconde langue vivante j’optai pour le japonais –suite à la découverte de la J-music grâce à des ami(e)s qui me sont cher(e)s- Entre l’école et le chant je prenais des cours de piano, enfin pas vraiment. Mon père pensait faire de moi une grande pianiste de renommé mondiale, cependant je n’étais célèbre qu’aux yeux de mes parents. Durant toute ma vie (du moins, celle que j’ai vécu jusque là) je me suis obligée à économiser dans le but de voyager –une autre de mes passions-. Par chance -ou pas- un jour, mes parents nous prirent moi et mon frère a part, ils nous apprirent que nous allions partir aux USA. Ayant déjà dans mes "choses a faire après papa et maman" " Voyager ou/et vivre autre part qu'au pays de Galles" je fus très heureuse, ce qui ne fut pas du gout de tout le monde, en effet mon frère lui, nous fit la """"""""""""tête""""""""""" a moi et mes parents qui, nous, étions super exité a l'idée de partir. Bien sur, nous avions pris avec nous tout le mobilier, ainsi que le piano ( Houra !). La seule chose négative qui puisse gacher ce si 'fabuleux' tableau fut quitter mes amies, j'eu beaucoup de mal a quitter Liverpool. En ce qui conserne le voyage, il m'a parrut durer une éternité. Aucune console de jeu à bord, et en ce qui conserne la musique, mon père m'interdisai de fouiller les valises pour y trouver mon Ipod que j'avais comme qui dirais oublier de mettre dans ma poche.

J'eu bientôt ma première voiture. Et quelle voiture! J'en profitai pour aller crâner dans tout Los Angeles. A cette époque là, j'avais 16 ans, âge requis donc pour posséder une bagnole, et j'en était pas peu fière. Entre temps, j'avais appris, en plus du piano, la guitare. Je savais bien évidement jouer des trois (classique, basse, électrique), mais ma préférée était sans aucun doute l'électrique. Tendis que mon frère se rengeai dans le rap et le r'n'b, moi je me trouvai dans le Punk-Rock, et tout ce qu'il va avec, à la déception de mon père.

J'allais bientôt avoir dix-huit ans, et s'était pour moi un grand évennement. Pas seulement parce que c'est l'âge de maturité en France (et quelle importance on est pas en france, je raconte n'importe quoi =_=), mais parce que je savais que mes parents allaient m'inscrire à l'Université. je ne fue pas déçue en effet, et en plus de cela, les filles et garçons étaient séparés, je me retrouvai donc à Vantoum, pendant que mon frère était déjà (depuis 1 an) à Wilmont. Je me retrouvai vite parmis les autre chanteurs en herbes de l'université. Quand Vantoum et Wilmont se réunirent pour former Werly, je n'étais certes pas vraiment enthousiaste, mais j'allais enfin voir des têtes masculines. Mais rien de plus, puisque j'essaye malgrès tout de ne pas tomber amoureuse, histoire de ne pas vivre de déception, comme je le vois sur mon écran plat.

Je suis ce qu'on pourrait qualifier « d'adolescente typique ». Mon esprit de contradiction règne en maître dans ma personnalité tout comme mon instinct de provocation. Je refuse d'être celle qu'on voudrait que je soit. Je refuse de me plier aux exigences des autres. Je refuse de me trahir moi-même, de ne pas être loyal en ma personne. Je me connaît bien, sais exactement qui je suis, ou presque et je m'accepte autant en défauts qu'en qualités. En ce sens, j'assume la plupart de mes actes et tente sans grand succès de ne jamais rien regretter. Je provoque tous ceux qui croisent mon passage et c'est avec une certaine joie que je me voit, peu à peu, mise de côté et détesté par mes pairs. Paradoxalement, je cherche par-dessus tout à être aimée. Je cherche l'amour inconditionnel, l'amour sans retour. Beaucoup me déçoivent et m'agacent. (C'est chaint à lire ça, hein ? XD) Je cherche toujours la faille dans un individu et arrive souvent à la trouver. Ma méthode? Les insultes, les provocations et tout autre tralala du même genre. J'analyse beaucoup les gens, à vrai dire, j'adore observer leur monde. Des individus qui ne réagissent pas tous de la même manière à mes propos. Certains me qualifient d'idiote, d'autres ne souhaitent que me voir souffrir. Certains, des gens bizarres pour la plupart, me trouvent marrante, alors que d'autres ne font que m'ignorer. Personne n'a, jusqu'alors, réussit à gagner mon respect, hormis mon frère, ma mère, mon père. Toutefois, lorsqu'on réussit à atteindre mon cœur, on y reste pour l'éternité. On peut me blesser, me trahir, m'humilier, m'abattre psychologiquement, j'aimerai toujours. Contre ma volonté parfois, je vous l'accorde, mais passionnément et fidèlement.

Autrement, je ne suis pas la plus grande lumière de notre temps. Je ne marquerai certainement pas l'histoire et ne vivrai probablement pas de grand moment digne de ce nom. J'évite les ennuis, les véritable seulement, du mieux que je peux. À vrai dire, je ne suis pas particulièrement attiré vers l'action et les dangers.

Il y a quelques mois déjà, j’ai eu 18 ans. Sincèrement je pensais que cela changerait quelque chose en moi et lorsque je suis entrée dans ma dix-huitième année, rien ne se produisit à ma plus grande déception. Physiquement, je suis assez petite, pour ne pas dire très. Du haut de mes un mètre quarante-sept je ne suis guère la plus grande de mon âge. J’ai les cheveux blond, avant ils étaient très long mais je les ai fait couper pour être plus à l’aise. L’hiver, ils me procurent une chaleur au niveau du cou tellement agréable qu’il n’est pas rare de me voir les cheveux détaché, alors que l’été…ils me donnent tellement chaud que l’on me voit seulement les cheveux attachés. Personnellement, je ne me trouve pas d’une beauté éclatante, je me dirais banale mais pas trop non plus. Car après tout, qu’est-ce que la banalité ? Je l’avoue, j’ai eu une période plutôt…étrange, mais maintenant je suis plus raisonnable. Logiquement, étant petite, je n’ai pas de très belles formes. Pas comme certaines dont je ne citerais pas le nom…. J’aurais aimé avoir une plus grosse poitrine et je ne le cache pas, si bien que l’on me répète qu’il faudrait que je mange plus pour avoir de belles courbes. Souvent, l’on m’interpelle pour me dire que j’ai de beaux yeux, avis que je ne partage pas. Ils ne sont pas vraiment exceptionnels, je ne dis pas qu’ils ne méritent pas de tels compliments mais quand même, l’on pourrait penser que mes chromosomes se sont battus pour savoir qui du marron ou du bleu gagnerait cette terrible bataille pour obtenir le royaume des yeux. Malheureusement, ce fut un match nul et l’arbitre aurait décidé qu’ils se partageraient équitablement mes yeux ? Ben voyons ! Comme si je n’avais pas mon mot à dire dans cela. Je trouve mon nez horrible, et mon frère ne fait qu’en empirer ma gêne en me surnommant « Gros Pif » (surnom que je ne tolère pas).. J'ai tendance à fixer mon regard sur quelqu'un ou quelque chose puisque je pars souvent dans mes pensées sans vraiment m'en rendre compte. Question vêtement c'est toujours la même chanson, jean foutu et t-shirt aux grosses inscription. Pour les chaussures s'est converses à volonté.