I pursue you, you throw back, i love you. || PV à Natalya

Messages : 23 Date d'inscription : 11/09/2010

- Salut Nattie.

- Salut Nattie.

- Tu seras toujours aussi collant quand je t'aurais foutu mon -minuscule- poing dans ton crâne brioché ?

- Bon, ... qu'est ce que tu fais là ?

Messages : 23 Date d'inscription : 11/09/2010

Citation :: - Tu seras toujours aussi collant quand je t'aurais foutu mon -minuscule- poing dans ton crâne brioché ?

Je lâchai un rire nerveux. Je ne voulais pas qu'elle le prenne comme ça. Mais, au fond, je savais que ça n'était qu'une menace en l'air. Il n'y avait qu'à voir la suite, ces quelques pas en avant, cette main dans les cheveux, elle n'avait pas l'air énervée, pas le moins du monde.

Citation :: - Bon, ... qu'est ce que tu fais là ?

Sa question me surpris un peu. Et bien, rien, je ne faisais rien, à en arriver à être en face d'elle dans cette ruelle poisseuse, la nuit tombante.

- Rien de spécial. Il commence à faire frais, je ne vais pas tarder.

C'est vrai, cet après-midi avait passé à une allure vive. Il devait déjà être 19h00, si ce n'était guère plus. Mais il était évident que je ne serais pas venu passer un après-midi tout entier à rien faire. J'avais mentis, oui, mais ça ne me choquai pas moi même. Et si je voulais gagner sa moindre confiance...

- Je mens, tu t'en doute peut-être. J'suis là pour te voir, sinon, comment ça va, toi ?

- Rien de spécial. Il commence à faire frais, je ne vais pas tarder.

Haha, mon oeil oui.

- Je mens, tu t'en doute peut-être. J'suis là pour te voir, sinon, comment ça va, toi ?

- AH ! Tu.. Tu es exaspérant. Et tu sais, le mensonge est fais pour cacher une vérité, pas pour la dévoiler deux secondes après.

Je croisais les bras, détournais le regard.

- Je vais bien. Je vais TRES bien.

C'est vrai qu'il commençai à faire froid. Et noir. Huum, tout bien réfléchit, ok pour taper une converse. Mais vite.

- Ecoute, je suis désolée. Mais si tu tiens vraiment à me revoir, t'as intérêt à changer, et vite. J'aime PAS ton air macho, j'aime PAS quand tu mens, j'aime PAS ton petit sourire satisfait, j'aime PAS que tu me prenne pour ton joujou à toi, et pour finir je hais les personnes égoïstes comme toi qui ne tiennes pas conte de l'avis des autres, comme du miens par exemple. Alors ok, t'aime surement pas entendre ça venant de la bouche de mademoiselle tu-es-à-moi-je-t'aime blah blah blah -Ah, oui, au fait, j'aime pas les personnes possessives à ce point-, mais saches que t'es surement pas sortit de l'auberge si tu t'y prend à me mentir dès la première parole.

Je frissonai au sentit des courants d'air -HAHA-, repris mon souffle.

Messages : 23 Date d'inscription : 11/09/2010

Citation :: - AH ! Tu.. Tu es exaspérant. Et tu sais, le mensonge est fais pour cacher une vérité, pas pour la dévoiler deux secondes après.

- Je ne suis pas stupide à ce point.

Citation :: - Je vais bien. Je vais TRES bien.

Un asticot enragé. C'est vrai, elle ne pouvait pas passer deux minutes sans bouger. La preuve, elle venait de croiser les bras, ce qui était totalement.. inutile.

Citation :: - Ecoute, je suis désolée. Mais si tu tiens vraiment à me revoir, t'as intérêt à changer, et vite. J'aime PAS ton air macho, j'aime PAS quand tu mens, j'aime PAS ton petit sourire satisfait, j'aime PAS que tu me prenne pour ton joujou à toi, et pour finir je hais les personnes égoïstes comme toi qui ne tiennes pas conte de l'avis des autres, comme du miens par exemple. Alors ok, t'aime surement pas entendre ça venant de la bouche de mademoiselle tu-es-à-moi-je-t'aime blah blah blah -Ah, oui, au fait, j'aime pas les personnes possessives à ce point-, mais saches que t'es surement pas sortit de l'auberge si tu t'y prend à me mentir dès la première parole.

Je la regardai un instant, en profitant pour chercher quelque chose à dire. Quelque chose de déstabilisant.

- Tu n'es pas parfaite non plus, Natalya.

J'affichais un nouveau sourire de fierté avant de continuer.

- Si je te parait si désagréable, expliques-moi pourquoi nous avons coucher trois fois ensemble.

Je la vie comme vaciller, je fonçai donc dans le tas, et allai maintenant jouer sur les mots, la regardant dans les yeux.

- Réfléchies. Tu te fais des idées. Je ne suis surement pas comme tu le penses. En tout cas pas avec toi.

Je fis un léger pas en avant de sorte à réduire à néant l'écart qu'il y avait entre elle et moi. Après quoi, je déposai mes mains sur ses hanches et penchai la tête pour aller déposer un baiser dans son cou. Et le tour était joué.

- Tu n'es pas parfaite non plus, Natalya.

Son petit sourire suivis. Il se prend pour qui ? Ah, mais c'est ça : il ne comprend rien, ça m'étais passé à côté de la tête.

- Si je te parait si désagréable, expliques-moi pourquoi nous avons coucher trois fois ensemble.

Continue ton jeu, gros malin. Je déteste et détesterais toujours mon passé. Y penser, ou y faire référence, peut importe, c'est comme ça. Ça me blesse et ça blesse les gens parfois. Il entrait dans un jeu qui allai s'avérer en mauvaise position pour moi, il le savais, et je détestai ça. C'était abusé --" Je ne manquai pas de voir ses yeux bleu argentés se plonger dans les miens, je trouvais ça plutôt captivant.

Ayé', c'était presque la nuit noire, heureusement, mes amis lampadaires étaient là pour me protéger des monstres de la nuit... noir x). Toujours scotchée à ses yeux, je n'entendais pas ce qu'il était en train de me dire, ce qui donnai :

- """""Rblfble. Tfteblemneble. Jfesblesbweblemnepweve. Tfetfetcepfevse."""""

(XD), au lieu de l'original. Je perçai une tels lueurs dans ces yeux que j'aurais pu y voir une once de sincérité et de sentiments. Égarés au milieu de cette stupide mise en scène malheureusement. Ce qui me sortis de mon délire, c'est ses lèvres, que je sentis au niveau de mon coup. Je fis immédiatement le rapprochement.

- Les vampires sont des conn*rds.

Mais j'étais indécise. Je le poussai alors, de la force que je pus ~~(il recula d'un millimètre =D)~~, avant de me tourner dos à lui. *DING* Mais... attends deux sec !

- Pars.

Je frissonai, mama, je caillai :O. Je me retournai vers lui, les larmes montèrent, mais je ne pleurai pas.

Messages : 23 Date d'inscription : 11/09/2010

Citation :: - Les vampires sont des conn*rds.

- Oh, ça oui.

Je ne voyais pas pourquoi elle y avait fait allusion. Me prendrait-elle réellement pour un monstre ? Hum, fort possible, mais je n'irai peut-être pas jusque-là. Je la laissa me repousser, toujours le même petit sourire aux lèvres. Je n'étais peut-être pas un monstre, mais ces petits caprices m'amusaient. J'avais également deviné qu'elle ne m'avais pas écouter tout à leur. Autrement, elle m'aurait répondu, puisque ces quelques phrases auraient ensuite enclenchez comme une riposte en retour. Je la regardai se retourner dos à moi.

Citation :: - Pars.

Je le vit ensuite frissonner, et, en bon garçon bien élevé que je suis, j'oubliai déjà son ordre qui m'étais clairement adresser. Je fis un nouveau pas vers elle, déposa mes mains sur ses épaules, et d'un ton clair, m'enquis :

- Tu as froid.

Je fis quelques pas de plus de façon à me retrouver en face d'elle, même si elle n'en avait pas spécialement l'envie. Je vis alors ses yeux brillants, humidifiés par des larmes prêtes à perler sur ses joues froides. Bien évidemment, je me sentis alors coupable, et culpabilisai. Il est sur que je n'était pas souvent conscient de mes actes. Tout simplement puisque j'avais appris à ne plus réfléchir avant de parler, ce qui me donner l'opportunité de souvent pouvoir dire clairement ce que je pense, peut-être même trop. Ou tout le contraire, mentir, encore et encore, en ne réfléchissant pas aux conséquences, tout bêtement. Bref, cette parenthèse fermée, je laissai enfin sortir l'Alessandro qui sommeillai souvent en moi, l'Alessandro doux et sentimental. J'ouvris alors les bras pour y loger Natalya, et refermer notre étreinte. Je décidais de rester comme ça pendant quelques minutes, avant de finalement sentir quelques touches d'humidités sur mon tee-shirt léger. Mais cela ne me gênai nullement. Je fis alors quelques mouvement bref de gauche à droite, comme lorsque l'on cherche à calmer une personne, ce qui était le cas, justement.

- Je t'emmène quelque part ?

Je lui relevai le menton à l'aide de mon index, et lui souris. J'avais comme l'envie de me faire comme pardonné de m'être montrer si egoïste avec elle. C'est que ça devait peser lourd, toutes ses histoires.

- Tu as froid.

Non, sans blague! Après qu'il ai poser ses mains tièdes -normales, lui, avec sa veste sur les épaules, il avait penser à tout. moi, en débardeur, je l'affichai plutôt bien, non ??- Je levai des yeux assez mesquins vers lui, ce qu'il ne du pas remarquer. Parié, juré, la première chose qui lui sauta aux yeux furent mes prochaines larmes, ahh, mais 'faut vraiment être amoureux quoi. Je le regardais donc se poser en face de moi, et je manquai de justesse l'étranglement volontaire lorsqu'il refermai ses bras -muscléééés- autour de moi. Là, plus aucune question, je lâchai mes larmes. C'était un égoïste, bouché sourd muet aveugle (=D), qu'en faisait qu'à sa tête de cake pas cuit. Il me serra comme ça pendant deux ou trois minutes, à la fin j'en pouvais plus de ses petits balancements de droites à gauche. A ça question, je cru que je mourrai.

- Je t'emmène quelque part ?

Il me relevai la tête, je m'empressai de le repousser, une bonne fois pour toute cette fois.

- NOOOOOOOOooooooon !! C'est quoi ces idées foireuses, là ?

Je le fusillai du regards, essuyai le rebord de mes yeux suite à mes pleurs totalement... inutiles, et tournai les talons. J'ajoutai, sur un ton neutre :

- Et surtout, ne me rappelles pas. Comprends que je ne veux plus te voir.

Je me précipitai alors vers ma voiture, d'un pas assez peut assurer. La nuit était close, ce qui amplifiais mon stress. -Oui, je stress pour tout et pour rien à la fois-. Une fois à ma bagnole, je m'empressai d'ouvrir la portière et de me jeter à l'intérieur. Complètement parano, je fermer les portière et et regardai par la fenêtre d'un air curieux. *pars, pars, pars, paaars!* Je voyais sa silhouette bouger maintenant à l'entrée de la ruelle, mais détournai le regards pour ensuite mettre le contact, rien de plus.

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[je vais donc jouer le gars collant, let's go ! :p]

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Citation :: - NOOOOOOOOooooooon !! C'est quoi ces idées foireuses, là ?

J'affichai tout de même un petit sourire rieur. Oui, j'étais comme fière de moi. Je me répète, j'aimais voir que j'éxaspérai les gens. C'était comme dans ma nature. Lorsqu'elle tourna les talons, je ne changeai pas d'air, je levais même les yeux au ciel avec un petit sourire moqueur et lâchai un petit soupire.

Citation :: - Et surtout, ne me rappelles pas. Comprends que je ne veux plus te voir.

Je la laissai partir, faisant mine de rester en place. Une fois qu'elle fut hors de ma vue, j'avançai d'un pas, puis de deux. Je passai ma tête derrière le mur, sa voiture n'était qu'à une vingtaine de mètre environ de là, et les lampadaires éclairaient suffisamment pour que je puisse la voir monter dans sa voiture. Je me mis alors à avancer, prêt à aller la rejoindre. Elle alluma mis le contact, mais je n'accélérai pas pour autant. Si vous la connaissiez comme je la connais, vous sauriez pourquoi je ne réagissais pas à l'idée qu'elle parte. Et bien, sachez qu'elle est quelqu'un de sensible, il me verrai plus juste de la voir fondre en larmes sur son siège plutôt que de me fuir. Elle voulait surement me faire décamper. Mais, dans le doute... j'allai à sa vitre. J'y toquai deux fois du doigts, lui faisant ensuite un petit sourire. J'étais à la vitre côté passager, et lui demandait alors, sur un ton innocent et enfantin :

- Tu me laisse entrer ?